La Fédération nationale de la presse française (FNPF) est fondée au lendemain de la Libération, le 29 décembre 1944. Elle est issue de la Fédération nationale de la presse clandestine que présidait Albert Bayet (1880-1961), et remplace la Fédération nationale des journaux français, dissoute pour collaboration.
La FNPF est une « Union de syndicats » à laquelle adhèrent des organisations syndicales professionnelles d’éditeurs de journaux et de publications périodiques. En 1951, la Fédération connaît une première crise avec la scission du Syndicat des quotidiens régionaux (SQR). Une partie...
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La Fédération nationale de la presse française (FNPF) est fondée au lendemain de la Libération, le 29 décembre 1944. Elle est issue de la Fédération nationale de la presse clandestine que présidait Albert Bayet (1880-1961), et remplace la Fédération nationale des journaux français, dissoute pour collaboration.
La FNPF est une « Union de syndicats » à laquelle adhèrent des organisations syndicales professionnelles d’éditeurs de journaux et de publications périodiques. En 1951, la Fédération connaît une première crise avec la scission du Syndicat des quotidiens régionaux (SQR). Une partie des éditeurs de quotidiens de province forme alors le Syndicat national de la presse quotidienne régionale (SNPQR). Ils ne rejoignent la Fédération qu'en 1986 lorsque les deux syndicats concurrents se regroupent pour former le Syndicat de la presse quotidienne régionale (SPQR).
Jusqu’à la cessation de ses activités en 2009, la FNPF a pour mission essentielle le maintien et le développement de la liberté de la presse. Elle a pour vocation de contribuer à l’amélioration de l’existence matérielle et au développement des organes de la presse écrite sous toutes ses formes.