A noter : les plaques 5453, 5465, 5467, 5468, 5472, 5477, 5494, 5582, 5599, 5600, 5603, 5605, 5606, 5617, 5618, 5640, 5644, 5649 et 5663 souffrent d'un phénomène de jaunissement prononcé. Les plaques 5456, 5467, 5489, 5490, 5641 et 5680 sont...

A noter : les plaques 5453, 5465, 5467, 5468, 5472, 5477, 5494, 5582, 5599, 5600, 5603, 5605, 5606, 5617, 5618, 5640, 5644, 5649 et 5663 souffrent d'un phénomène de jaunissement prononcé. Les plaques 5456, 5467, 5489, 5490, 5641 et 5680 sont découpées assez grossièrement sur toute leur hauteur et présentent donc un format inhabituel. Les plaques 5457 et 5670 à 5673 sont des photographies positives couleur ; vraisemblablement sur support souple placé entre deux plaques de verre protectrices. La plaque 5461 a un de ses coins inférieurs fissuré et la plaque 5464 est cassée en trois morceaux. L'émulsion des plaques 5463 ; 5468 ; 5494 et 5621 présente des fissures et/ou des rayures. L'émulsion de la plaque 5481 a été en partie rongée et teintée de couleur rouille par des moisissures. Les plaques 5595 et 5596 souffrent d'un important phénomène de miroir d'argent. Les plaques 5634 à 5637 et 5674 à 5675 sont des positifs noir et blanc de format inférieur (8,5x10 cm) aux quarts de plaque qui constituent la quasi-totalité de cette entrée.
Selon le site internet de la base " Architecture-Mérimée ", consulté le 03 mai 2011, les vitraux de Jean Hébert-Stevens ont été partiellement détruits en 1940 puis restaurés de 1956 à 1957 par Pauline Peugniez.
