Notice descriptive
- Compagnie des produits chimiques d'Alais et de la Camargue puis Compagnie des produits chimiques d'Alès, Froges et Camargue puis Pechiney. Société générale du magnesium (SGM).
Auteurs : Répertoire numérique détaillé réalisé en 2022 par Pauline Dassé et Jenny Piquet (Revelis, agence d'ingénierie historique) et mis en forme en 2023 par Gersende Piernas, chargée d'études documentaires, sous la direction de Quentin Schoumacher, conservateur du patrimoine. |
Année de publication : 2023 |
Cotes extrêmes : 2022 13 1 à 29 |
Dates extrêmes : 1930-1972 |
Description matérielle : 6 boîtes et 10 registres. |
Importance matérielle : 2,7 ml |
Conditions de communicabilité : Fonds communicable et reproductible suivant les délais légaux prévus par le Code du patrimoine pour les archives publiques. |
Présentation du contenu
Le fonds porte sur l’administration et la comptabilité de la société.
Historique de la conservation
Le fonds de la Société générale du magnésium (SGM) a été transféré avec d'autres fonds de sociétés filiales (2022 8 Duralumin, 2022 14 Métaux purs Pechiney Outreau (MPO), 2022 16 Société française d'électro-métallurgie (SOFREM)) le 5 décembre 2022 par Revelis-Agence d'ingénierie historique, missionnée par Rio Tinto France (RTF), et par lettre de don du 5 septembre 2022.
Statut juridique
Archives privéesPrésentation du producteur
En 1915, la Société d'électrochimie, d'électrométallurgie et des aciéries électriques d'Ugine (SECEMAEU) monte à l’usine des Clavaux (Isère) le premier atelier français de fabrication du magnésium. En 1922, la Compagnie des produits chimiques d'Alais et de la Camargue, future Pechiney (PCAC) installe à son tour un atelier analogue à Épierre (Savoie).
En 1930, les deux sociétés créent la Société générale du magnésium (SGM) qui les représente pour toutes les questions relatives à ce métal. La SGM est en charge de la vente de la totalité du magnésium en France et est détentrice de nombreux brevets concernant la fonderie de ce métal.
La SGM dispose de bureaux rue Hoche à Paris (8°), d’un dépôt et d’un laboratoire situé à La Garenne (fermé avant 1966). Elle est dissoute le 31 décembre 1971.
Mode de classement
Le plan distingue l'administration de la société (1930-1972), de la direction (1930-1953) et de la comptabilité (1930-1971).
Tris et éliminations
Les documents en double ont été éliminés représentant environ 0,30 ml.
Sources complémentaires
Archives de Rio Tinto France :
- Fonds 00 - Collection historique de Pechiney
Collection créée au sein du groupe Pechiney dans les années 1960-1970, qui a permis la préservation de certaines archives, considérées comme importantes pour la mémoire de l’entreprise
- Fonds 001 - Direction générale
- Fonds 072 - Secrétariat général de Pechiney (fonds concernant notamment les assemblées générales, conseils, comités et dossiers de correspondance des administrateurs de Pechiney, des sociétés mères (dont Société d'électrochimie) et filiales principales)
- Fonds 073 - Secrétariat des sociétés et filiales de Pechiney : Conseils d’administration, Assemblées générales, administration (constitution, dissolution, augmentations ou réductions de capital, suivi des titres, etc.), quelques registres comptables.
- Fonds 090 - Direction juridique de Pechiney (archives juridiques des maisons mères et des filiales et participations, on y trouve notamment les contrats originaux de la SGM)
Ces dossiers et leurs inventaires sont communicables uniquement sur autorisation formulée à la Direction juridique de Rio Tinto par l'intermédiaire de l’IHA (histalu@histalu.org).