Notice descriptive
Schwartz-Hautmont, ateliers de construction (et sociétés absorbées) : entrée 2021 4
- Schwartz-Hautmont, ateliers de construction (et sociétés absorbées) : entrée 2021 4
Auteurs : Réalisé en 2021 par Charles-Alexandre Boucly, stagiaire de Master 1 Archives de l'Université de Picardie Jules Verne, sous la direction de Gersende Piernas, chargée d'études documentaires, et d'Anne-Claire Bourgeon, conservatrice du patrimoine |
Année de publication : 2022 |
Cotes extrêmes : 2021 4 1 à 35 |
Dates extrêmes : 1889-1938 |
Importance matérielle : 7.2 ml |
Conditions de communicabilité : Fonds communicable et reproductible suivant les délais légaux prévus par le Code du patrimoine pour les archives publiques. |
Conditions de réutilisation : La réutilisation des documents est libre et gratuite, sous réserve des dispositions relatives aux droits de propriété intellectuelle et au respect de la vie privée (voir les modalités d'application sur le site internet des ANMT). |
Présentation du contenu
Le fonds est essentiellement composé d'iconographie représentant les ouvrages de ferronnerie ou de menuiserie produits par l'entreprise : grilles, portes, vérandas, balcons... Un deuxième ensemble comprend des recueils de photographies probablement conservés à titre de documentation sur la serrurerie et la ferronnerie en France et à l'étranger.
Historique de la conservation
Les archives étaient conservées par le petit-fils de M. Roblin, fondateur de la société Composants et assemblages Schwartz-Hautmont SARL (CASH), filiale de la société Schwartz-Hautmont.
Modalités d'entrées
Le fonds a été donné aux ANMT par Michel Adam-Roblin en 2021.
Statut juridique
Archives privéesPrésentation du producteur
En 1919, Albert Schwartz (1861-1930), ingénieur des Arts et Métiers, ainsi que Lyon Lévy (1862-1940), ingénieur civil, associent à leur entreprise de construction métallique Schwartz, Meurer et Bergeotte, les Forges et Fonderies d’Hautmont. Nouvellement dénommée Ateliers de construction Schwartz-Hautmont, la société se spécialise dans l’industrie d’art, de construction de serres et de châssis. Dans la deuxième moitié du XXe siècle, l’entreprise développe plusieurs filiales, dont celle des composants et assemblages Schwartz-Hautmont (CASH). Malgré la diversification de ses activités, l’entreprise est liquidée en 1977.
Sources complémentaires
Archives nationales du monde du travail (Roubaix)
2000 27 : Atelier de construction Schwartz-Hautmont.
1998 4, 2002 17 : Jeumont.
Bibliographie
YAMANA (Yosjiyuki), Les ateliers de construction Schwartz-Hautmont : l'évolution d'un entrepreneur-industriel 1919-1977, Université Paris I, Panthéon-Sorbonne, thèse de doctorat, 2002.