Notice descriptive

Eiffel.

  • Eiffel.
  • Présentation du contenu

    Le fonds se compose de trois entrées 152 AQ (48,3 m.l.), 2021 6 (1,14 m.l.), 2023 47 (2 m.l.).

    * L'entrée 152 AQ a été divisée en deux grandes parties : les documents administratifs et les documents techniques ; on a respecté au sein de chacune de ces parties la division par entreprise. L'ensemble ne va pas au-delà de l'année 1965, date d'une importante réorganisation de l'entreprise.

    Les documents administratifs sont ceux de la gestion des entreprises. Il faut noter que, outre des renseignements strictement administratifs, on peut également y trouver des renseignements sur les travaux, en particulier dans les séries de correspondances et de devis.

    Les archives de la Société de construction de Levallois-Perret, des Anciens Etablissements Eiffel, des Etablissements Eiffel, puis de la Société Eiffel ont été placés en tête. Ensuite viennent celles de la Société Eiffel d’entreprise générale, puis celles de la Société générale de construction de Paris - Argenteuil et des quatre entreprises qui lui ont été associées. On trouvera ensuite les archives de la Société africaine construction J. Anselmi qui fusionne avec la Société Eiffel d’entreprise générale en 1965. La Société congolaise de construction et de travaux publics était liée à la précedente ; Pierre Vallée, président directeur - général de la Société Eiffel d’entreprise générale en fut administrateur et président.

    Toutes ces séries présentent des lacunes importantes et on peut regretter, en particulier, la minceur des dossiers d’assemblées générales et de conseils d’administration. Toutefois, certains documents, tant par leur nature que par la période chronologique qu’ils couvrent sont particulièrement intéressants : toutes les séries de correspondance (152 AQ 6 à 9, 130 à 131), principalement la correspondance avec l’agence de Saïgon ; les documents comptables offrent aussi un ensemble assez complet pour la période postérieure à 1918 (152 AQ 12 à 105) (la comptabilité a été réorganisée en 1952 : à partir de cette date le journal général est une simple centralisation, le détail des opérations ne figure que dans les journaux auxiliaires). Il convient de mentionner à part la série des inventaires au 31 décembre qui s’ouvre avec celui de 1889 et continue jusqu’en 1951, avec des lacunes il est vrai (principalement la période 1923-1940 pour laquelle ne subsiste que l’année 1934) (les plans de la tour Eiffel, qui faisaient partie du fonds, ont été vendus par le liquidateur à la Société de la Tour Eiffel) (152 AQ 106 à 115).

    La série des documents techniques regroupe les dossiers ouverts au nom de chaque ouvrage construit ou étudié. Nous possédons les dossiers techniques de trois entreprises : la Société de construction de Levallois-Perret (puis Anciens Etablissements Eiffel et Etablissements Eiffel), la Société Eiffel d’entreprise générale et la Société générale de construction Paris – Argenteuil. Pour chacune de ces entreprises, on a choisi de classer les dossiers dans l’ordre chronologique qui est celui qui rend le mieux compte de l’évolution des travaux entrepris.

    Pour la première fois, il s’agit d’abord des archives du bureau des études. Ces dossiers sont donc constitués de notes de calculs des ouvrages, de notices descriptives, de plans et épures et métrés (documents récapitulant la totalité des pièces de métal nécessaires à la construction). Les dossiers des ouvrages les plus importants peuvent également comprendre de la correspondance avec le client, les projets élaborés par lui ou des dossiers de concours et des notes au sujet des modifications qu’il demande mais cette correspondance reste toujours du domaine technique qui est précisément celui du bureau des études (certains dossiers sont incomplets, réduits par exemple aux seules «pièces écrites» (notes de calculs, notes descriptives) ou aux plans de détails.). Les renseignements complémentaires sont à chercher dans les séries de documents administratifs : correspondance avec les agences outre-mer, le cas échéant, et registres de devis. Le changement de forme sociale n’ayant pas interrompu la marche de l’entreprise, cette série commence en fait avant 1889 avec les dossiers de quelques unes des réalisations les plus prestigieuses de Gustave Eiffel : le pont Maria Pia sur le Douro, le pont d’Empalot sur la Garonne ; le viaduc de la Tardes, le pont de Cubzac, la coupole de l’observatoire de Nice, le pont sur le Tage (les plans de la tour Eiffel, qui faisaient partie du fonds, ont été vendus par le liquidateur à la Société de la Tour Eiffel). Le bureau des études tenait également à jour la documentation sur les ponts préfabriqués de façon à pouvoir fournir aux clients ultérieurs, sans étude particulière, des ponts d’un type déjà étudié auparavant. Cette documentation remontait pour les modèles les plus anciens, aux débuts de l’entreprise. D’après certaines mentions d’archivage portées sur les dossiers, il semble qu’on ait procédé à un reclassement par types de ponts immédiatement après la seconde guerre mondiale : ces dossiers ont donc été insérés à cette place dans la liste chronologique qui se trouve ainsi interrompue.

    La composition des dossiers techniques change vers 1954, époque à laquelle a dû intervenir une réorganisation des services. Les registres de devis s’arrêtent à cette date et on voit alors apparaître dans les dossiers d’ouvrages, à côté des plans et notes de calculs, des documents relatifs au suivi administratif de la soumission ou du marché, la correspondance avec les fournisseurs, sous-traitants ou entreprises associées, et de devis. La construction se fait alors plus complexe et exige le concours simultané de plusieurs entreprises. Cette coopération est un facteur de procédures administratives et gonfle les dossiers de documents non techniques.

    Les dossiers de la Société Eiffel d’entreprise générale, issue des Anciens Etablissements Eiffel à l’époque de cette modification, présentent les mêmes caractères. Il s’agit désormais de dossiers technico-commerciaux et non d’archives de bureau d’études ; ce sont généralement des propositions au client dans lesquelles on trouve en particulier, outre des plans, un devis descriptif et un devis estimatif.

    L’inventaire se termine par une série de « plans ». Il s’agit de documents qui devraient théoriquement être joints aux dossiers de la Société de construction de Levallois - Perret et des Anciens Etablissements Eiffel ce que leur format rendait pratiquement irréalisable, ils étaient d’ailleurs, sans doute pour la même raison, archivés à part dès l’origine. Certains correspondent à des ouvrages dont le dossier figure dans la première série des documents techniques et, dans ce cas, la cote de ce dossier a été mentionné après l’analyse des documents. Ces plans représentaient une proposition considérable des documents versés aux Archives nationales. Il s’agissait pour l’essentiel des plans dits «de détails» destinés à la fabrication par l’atelier des pièces nécessaires au montage des ouvrages métalliques et qui n’offraient de ce fait qu’un intérêt limité. La plupart ont donc été éliminés. On n’a conservé, que les plans d’ensemble ou de parties d’ensemble et à titre de spéciment, la série, assez complète, des plans de détails du viaduc de Garabit (152 AQ 306 à 329) (cf. en particulier le dossier de la construction de l’usine d’embouteillage de Contrexéville en 1955-1958 (152 AQ 257/4-258) du pavillon de la France à l’exposition de Bruxelles en 1958-1959 (152 AQ 260-263) et du pont sur le Tage à Lisbonne en 1957-1960 (152 AQ 267-270).).

    * L'entrée 2021 6 (1832-1869) se compose de documents gestion (statuts, personnel, patrimoine, etc.), de dossiers d'affaires et de documentation. Les actes notariés des statuts offrent un précieux complément à l'entrée 152 AQ, permettant une vision complète de l'évolution administrative de la société.

    * L'entrée 2023 47 (1881-1964) se compose de documents inconographiques (albums photographiques, photographies, publicité) relatifs aux réalisations en France et majoritairement en Indochine.

  • Historique de la conservation

    En 1976 le liquidateur a proposé les archives de l’entreprise au ministère de la Culture. L’ensemble représentait environ 400 mètres linéaires entreposés dans un local que société possédait en Haute-Marne. Pour des raisons d’ordre matériel les Archives nationales n’ont pu en recueillir qu’une partie après un tri sommaire sur place. Ainsi, les documents recensés dans cet inventaire ne constituent pas la totalité des archives de la Société Eiffel et, en particulier, les dossiers techniques ne permettent pas de constituer une liste exhaustive des travaux exécutés ou étudiés.

  • Modalités d'entrées

    L'entrée 152 AQ a été donnée par le liquidateur de la Société Eiffel en 1977 aux Archives nationales, site de Paris. Il a été transféré en 1997 au Centre des archives du monde du travail à Roubaix.

    L'entrée 2021 6 a été acquise par par le Service interministériel des Archives de France pour les Archives nationales du monde du travail auprès de la Librairie Chamonal à Paris en 2020.

    L'entrée 2023 47 a été acquise par le Service interministériel des Archives de France pour les Archives nationales du monde du travail auprès de Bertrand Lavédrine à Paris en 2023.

  • Statut juridique
    Archives privées
  • Présentation du producteur

    Gustave Eiffel (1832-1923)

    Né à Dijon en 1832, Gustave Eiffel intègre l’École centrale des arts et manufactures en spécialité chimie et se tourne ensuite vers la métallurgie. En sortie d’école, il se met au service de Charles Nepveu, ingénieur-constructeur. Par la suite, il présente avec Nepveu une offre pour la construction d’un grand pont ferroviaire sur la Garonne à Bordeaux, dont il travaille à la réalisation de 1858 à 1860. Il devient alors ingénieur de la Compagnie des matériels de chemins de fer, dirigée par le belge Pauwels. Il accomplit au cours de cette période plusieurs travaux de ponts pour les compagnies ferroviaires. Quittant la société en 1864, Eiffel travaille pour son compte et acquiert en 1866 des ateliers à Levallois-Perret. Il devient un entrepreneur et constructeur majeur de la deuxième moitié du XXe siècle.

    Gustave Eiffel, constructeur (1866-1868)

    Encore à son compte, Eiffel entreprend des réalisations de charpentes d’églises ou de synagogues (rue des Tournelles, Notre-Dame-des-Champs), mais également les viaducs à Rouzat et à Neuvial sur la Sioule, pour la ligne Commentry-Granat.

    Gustave Eiffel et compagnies (1868-1890)

    En 1868, il s’associe avec Théophile Seyrig, ancien élève de l’École centrale, qui lui apporte une compétence technique et un capital conséquent. Le viaduc de Douro à Porto est une de leurs grandes réalisations. En 1869, ils mènent à bien une série de ponts pour les Chemins de fer du Midi sur la ligne de Brive à Tulle.  La société gagne en renommée et travaille à l’étranger. Elle prospecte notamment en Amérique du Sud, entreprend des constructions au Pérou, mais interrompt ses activités sur ce continent au décès de l’associé sur place en 1873. Les projets internationaux s’enchaînent : la gare de l’Ouest à Pest en Hongrie (1875-1877), et surtout le viaduc du chemin de fer à Porto en 1875, qui leur offre une réputation et une réussite financière croissante. En 1879, on confie à Eiffel l’exécution d’un viaduc sur la ligne Marvejols-Neussargues dans le Cantal : le fameux viaduc de Garabit.  Les méthodes de calcul et d’exécution de ce viaduc seront identiques à celles pour la construction de la tour Eiffel.

    La même année, des différends avec Seyrig mènent départ de cet associé, remplacé par Maurice Koechlin.

    L’entreprise réalise également des bénéfices avec la mise au point d’un système de « ponts portatifs », vendus en pièces détachées. C’est au cours de cette période qu’il construit la tour Eiffel (1887-1889), après une convention passée avec la Ville de Paris en 1887.

    Compagnie des Etablissements Eiffel. Entreprises générales en constructions mécaniques (1890-1893)

    En 1890 les statuts de la nouvelle société anonyme précisent le fonds industriel en apport, comprenant « la clientèle industrielle et de commerce, la marque, les relations, agences et représentations […] les procédés spéciaux et les brevets d’invention ». La société prend le nom de « Compagnie des établissements Eiffel. Entreprises générales en constructions métalliques ». Il est mentionné dans l’acte que, si Eiffel devait cesser de faire partie du conseil d’administration, la dénomination sociale serait la suivante : « Compagnies d’entreprises générales et de constructions métalliques (Anciens établissements Eiffel). ». Le siège social se situe au 35 rue Pasquier à Paris.

    Société de construction Levallois-Perret (1893-1937)

    Affecté par le scandale de Panama dans lequel il est inculpé en 1892, Eiffel se retire des chantiers de construction et souhaite que l’entreprise ne porte plus son nom. Elle devient alors la Société de construction Levallois-Perret (siège : 42 rue Fouquet, Levallois-Perret). Le comité de direction est à présent composé de Maurice Koechlin, Charles Loiseau et Jules Puig. Les chantiers de la nouvelle société se portent d’abord sur les grands ouvrages d’art pour les routes et réseaux de chemin de fer, ainsi que quelques ponts parisiens (pont d’Austerlitz). Elle se développe rapidement dans l’Empire colonial avec des agences à Saïgon, Madagascar, mais aussi aux Antilles et à la Réunion. L’Indochine reste le territoire le plus important. Dans ces pays, l’agence recherche en premier lieu la clientèle des pouvoirs publics pour les grands ouvrages, ainsi que celle des grandes exploitations agricoles et des entreprises industrielles. Dans ce contexte, la fabrication et la vente des ponts démontables tient une place essentielle dans l’activité de la Société de Levallois-Perret, permettant un travail permanent aux ateliers et un volume d’affaires constant. L’ouvrage est expédié au client en pièces détachées avec une notice de montage. La Première Guerre mondiale occasionne un ralentissement de l’activité, liée à l’augmentation du prix du fret et du fer, que ne favorise pas l’après-guerre avec la crise de 1929.

    Anciens établissements Eiffel (1937-1960)

    La crise financière entraîne une restructuration du capital, et, partant, une modification du nom (siège social établi au 14 rue Gustave Eiffel, Levallois-Perret). Malgré un redémarrage, la production chute dès 1940, les communications avec l’Indochine devenant impossibles. Pour pallier à ces difficultés, la société acquiert comme filiale Dumont-Pérouse, puis la Société de Construction Paris-Argenteuil en 1950 (propriétaire d’une usine au Blanc-Mesnil). Parallèlement, les techniques de la construction, par l’emploi du béton, ont évincé le métal de la construction des grands ouvrages d’art. Le constructeur métallique n’est plus le principal maître d’œuvre. Dans les années 1950, des travaux sont entrepris en Egypte, au Brésil, au Vietnam ou encore à Madagascar. Les Établissements réalisent également des pavillons pour l’exposition internationale de Bruxelles en 1958.

    Deux présidents notables du conseil d’administration se succèdent sur cette période : Gabriel Boreau de 1949 à 1955, puis Paul Lorin. En 1957 les Anciens Etablissements Eiffel quittent les ateliers de Levallois-Perret : l’usine de fabrication est installée au Blanc - Mesnil tandis que le siège social est transféré au 23 rue Dumont d’Urville à Paris.

    À la fin des années 1950, des restructurations se révèlent indispensables face aux difficultés financières. Les échanges débutent concernant des fusions et acquisitions. De ces négociations résulte la création d’une nouvelle filiale en 1958, la Société Eiffel d’entreprise générale (SEEG), à qui est transférée l’activité génie civil en France et dans certains territoires. Elle construit notamment des usines Michelin à Bourges, Air Liquide à Blanc-Mesnil, ainsi que des charpentes en Guinée. Pierre Vallée en est le nouveau directeur. Désormais spécialisée dans la construction des pylônes, hangars, ateliers et ponts roulants, la société cherche à élargir son activité à la construction de bâtiments publics et à usage industriel.

    Établissements Eiffel (1960-1965)

    La maison mère Eiffel est rebaptisée « Établissements Eiffel » en 1960.

    La même année, une filiale commune avec l’entreprise Baudet Donon Roussel est créée pour mettre en commun les activités de construction métallique en France des deux sociétés mères. La filiale est baptisée Eiffel-Baudet Donon Roussel, Constructions métalliques et a son siège au 139-141 rue de Saussure à Paris. Elle quittera le giron des Établissements Eiffel quand elle fusionne en 1964 avec les Établissements Daydé pour devenir la Compagnie des travaux métalliques, ancêtre de l’actuelle entreprise Eiffage Métal.

    La SEEG fusionne en 1964 avec la Société parisienne d’études et de construction et la Société africaine de construction, puis avec la maison mère elle-même « Établissements Eiffel ». L’entreprise issue de ces fusions prend le nom de Société Eiffel en 1965. Cette dernière est finalement mise en liquidation en 1975.

  • Mode de classement

    Le fonds 152 AQ confié en 1977 a été inventorié par Éliane Carouge. Il a par la suite fait l'objet de deux compléments, aboutissant au présent répertoire :

    - des plans (cotes 354 à 424) ré-identifiés aux Archives nationales (Paris) puis transférés au CAMT ont été inventoriés en 2009 par Emmanuel Vandecavez et René Brumain, adjoints techniques, et Gersende Piernas, chargée d'études documentaires.

    - un supplément acquis en 2021 (entrée 2021 6) a été décrit la même année par Gersende Piernas, chargée d'études documentaires, sous la direction d'Anne-Claire Bourgeon, conservateur du patrimoine, à partir de la notice de vente.

    - un supplément acquis en 2023 (entrée 2023 47) a été décrit la même année par Gersende Piernas, chargée d'études documentaires, sous la direction de Quentin Schoumacher, conservateur du patrimoine.

  • Sources complémentaires

    Archives nationales (Site de Pierrefitte-sur-Seine)

    • Sous-série F14
    • 367 AP, archives de l'architecte Guillaume Gillet

    Archives nationales d'Outre-Mer (Aix-en-Provence)

    Fonds Indochine

    Archives nationales du monde du travail (Roubaix)

    • 65 AQ, statuts de la Compagnie des Etablissements Eiffel et procès-verbaux d’assemblées générales de 1891 et 1892 et de 1897 à 1900 (cote 65 AQ M177).
    • 1995 2 et 2010 15 : Compagnie française d'entreprises métalliques (CFEM)

    Musée d'Orsay

    Travaux d'école, correspondance, travaux d'Eiffel, collection d'objets

    Bibliothèque de l'École nationale des Ponts-et-Chaussées

    La bibliothèque de l’École nationale des Ponts-et-Chaussées conserve une assez abondante documentation imprimée sur les ouvrages de Gustave Eiffel et en particulier des catalogues de ponts portatifs : l’un publié par Gustave Eiffel en 1887 (17367/C. 926), l’autre par les Anciens Établissements Eiffel (in –4°. 31038).

  • Bibliographie

    Sur Gustave Eiffel

    • Ménager (Philippe), Le génie du fer, Bonneton, 2019
    • Ponceton (François), Eiffel, le magicien du fer, 1939.
    • Prévost (Jean), Eiffel, 1929.
    • Seitz (Frédéric), Le triomphe de l'ingénieur, Armand Colin, 2014

    Sur les constructions

    • Cordier (Gilbert), Documentation et réflexions sur les circonstances et les méthodes de la construction métallique au XIXe siècle, Paris, ministère de la Culture et de l'Environnement, 1977.
    • Lemoine (Bertrand), Construire en fer. Éléments d'une connaissance historique et technique des bâtiments en fonte du XIXe, CEDAM, 1982
    • Seitz (Frédéric), Architecture et métal en France XIX-XXe siècles, EHESS, 1994
    • Weill (Laurent), "Eiffel et la mise en valeur de l'Indochine (1889-1965)" in Histoire économie et société, 1995, p. 287-300 [en ligne]

    Sur les ponts démontables

    • Rousseau, Rapport au ministre de l’intérieur sur les nouveaux ponts portatifs et économiques (système Eiffel), 1885.
    • Thareau (G.) Ponts démontables (système Eiffel) Emploi aux rétablissements des voies ferrées, 1886.

    Catalogue d'exposition

    Gustave Eiffel, le magicien du fer, Mathieu (Caroline), dir., exposition à l'Hôtel de Ville de Paris, Flammarion, 2009

    Liens utiles

     

  • Mots matières
    entreprise du bâtiment, métallurgie, transport
  • Lieux
    Levallois-Perret (Hauts-de-Seine, France), Paris (Paris, France), VIET NAM, PORTUGAL, CAMBODGE, LAOS

Pour aller plus loin

L'inventaire :

Eiffel.

Les formulaires de recherche :

haut de page